En mai 2001, avant que je sois opéré.
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photographie
Articles
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Ombre et lumière
16 juillet 2006, par JC Sekinger -
Il faut que je parte
22 octobre 2006, par JC Sekinger -
Mimosa
20 février 2007, par JC Sekinger -
Unique journée
5 mars 2007, par JC Sekinger -
Chaleur de vie
16 avril 2007, par JC Sekinger -
Peindre d’après photo
14 juillet 2007, par JC SekingerIl y a de belles photos, utiles aussi, mais j’ai toujours refusé de dessiner d’après une photo. Ou, pour le dire moins brutalement, j’ai toujours préféré voir directement le modèle plutôt que d’essayer de le faire par dessus l’épaule d’un photographe. Le « voir directement » veut dire : accepter qu’il vive, le mesurer à bout de bras, l’attendre, sentir son parfum ou sa chaleur, l’écouter, lui parler... Je ne voulais pas « faire le portrait d’une photo ». Je me suis parfois servi de photos mais sans chercher à (...)
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Piège à lumière en plastique
1er novembre 2007, par JC SekingerEn plus, dans une quinzaine d’années, on n’en trouvera plus que chez les brocanteurs. À moins qu’on trouve comment en faire avec du maïs par exemple. En attendant, ça peut servir de piège à lumière posé sur une table de cuisine.
Remarquez, le papier huilé a le même effet et si l’huile est bonne, le papier sent bon !
...en plus. -
Bientôt l’hiver
15 novembre 2007, par JC Sekinger -
Accueillir dans la vision
13 janvier 2009, par JC SekingerJ’ai vu une petite peinture à l’huile qui représentait un paysage. Un chemin, un arbre. Rien d’exceptionnel dans ce paysage mais il m’a tout de suite attiré par une particularité : des angles et bords plus sombres. Ce qu’on appelle "vignetage" en photographie et qui est assez généralement considéré comme une "aberration". Que ce paysage ait été peint d’après une photographie ne m’a pas du tout effleuré. Ce qui m’a attiré immédiatement c’est l’assombrissement des bords du tableau : la disparition progressive (...)
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Les clochards
3 janvier 2009, par JC SekingerJ’ai parlé à un médecin de ma solitude et de mon besoin de partager mes convictions les plus profondes sur la peinture.
Un jour, je suis dans la souillarde, ou ailleurs dans la maison, et quelqu’un ouvre la porte. C’est un clochard avec un tableau abstrait (une espèce de truc marron vaguement décoratif des années soixante-dix). Je suis assez surpris et il me montre le tableau en m’expliquant que c’est le médecin qui l’envoie.
Je suis abattu.
Arrive un autre clochard, figure bouffie par l’alcool. Pas (...)