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Certaine douceur perdue
vendredi 1er juillet 2011, 17222e jour de mer, par
Comme s’il n’avait jamais été bercé que par l’air froid, il s’entoure de grisaille et de pâleur. Il écoute et regarde intensément. Heureusement, il aime le rouge : ultime éclat de la lumière avant que l’obscurité n’éteigne tout. La couleur est alors en feu et ne fait cendres ni crépitement. Ce feu est d’autant plus rouge que certaine douceur perdue ne se retrouve plus.