Après X et Y, deux inconnus ou deux axes, il y a Z. C’est ainsi qu’il se nomme lui-même : à la fois inconnu et axe d’une dimension inconcevable par les habitants de Flatland.
Z a trouvé, en sortant de la douche, que « rien » et « tout » se superposent. Il dira désormais, et pensera depuis le tissage vaporeux de son identité, « capacité » — il n’existe en effet rien, se dit Z, qui ne soit également tout.
Z cherche un cadre. Le corps est bien le cadre de son âme et la vie, celui de son corps. La nuit est bien (...)
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Histoires
· Une anagramme ? « Aléa et illustré »
Ces histoires sont de réelles fictions
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Z
18 mai 2012, par JC Sekinger -
Z ne comprend rien
16 mai 2012, par JC SekingerCelui qui peut dire de lui-même — appelons-le Z — qu’il n’est jamais compris, soit : il ne s’explique pas comme son interlocuteur le voudrait (mais quand Z demande s’il a été compris, son interlocuteur lui répond, agacé : "faudrait pas me prendre pour un imbécile") il ne réalise pas qu’il est compris (si Z demande des éclaircissement, son interlocuteur lui répond, agacé : « décidément, tu ne comprends rien ») pour son interlocuteur et lui, « comprendre » n’a pas la même signification (pour Z, comprendre, (...)
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« Le chevalier, la mort et le diable »
5 août 2011, par JC SekingerIl était une fois, dans un pays très lointain, un roi et une reine immensément malheureux. Chacun pour des raisons immensément différentes. Un chevalier égaré, égaré de très loin, était venu frapper à leur porte. Reparti le lendemain, emportant quelque chose de leur souffrance — un petit cœur noir et palpitant qui n’était pourtant à aucun d’eux — le chevalier n’avait jamais retrouvé son chemin.
[gris]Albrecht DÜRER (1471-1528) Le Chevalier, la Mort et le Diable 1514 Gravure sur cuivre, burin H. 24 cm ; L. 18,1 (...)