Le vide interminable, sans limites, il inclut le chevalet, l’horloge habituée, le tableau qui tombe, la fenêtre ouverte, la toile qui résiste. Souvenir lointain, lointain, lointain, dans une brume infranchissable, pinceau de pierre, peinture de sable.
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Aperçus
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Le vide
2 septembre 2006, par JC Sekinger -
Orange et bananes
31 août 2006, par JC Sekinger -
Jeune peintre
3 août 2006, par JC Sekinger -
Petits dessins tremblés
27 juillet 2006, par JC SekingerDans le train, j’ai dessiné. Il n’y a vraiment rien à ajouter.
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Une semaine
26 juillet 2006, par JC SekingerA Ramatuelle, avec mon père, en août 2000, entre deux hémorragies cérébrales, une pas grave et une grave l’année d’après. Une année de transition, de passages entre deux vies.
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Ombre et lumière
16 juillet 2006, par JC Sekinger -
J’ai vécu en rêve 1/4
24 juin 2006, par JC SekingerIl faut que je vous raconte ces rêves du coma, ça m’entrave, c’est un mur immense. Le raconter, c’est le laisser derrière moi parce que, désormais, je l’aurai oublié : je ne me rappelerai que ce que j’ai écrit, des souvenirs de souvenirs.
Je ne reviens pas sur les circonstances de cette hospitalisation, on s’en fout mais un soir je me suis trouvé couché seul dans une chambre, tête rasée, lavé à la béthadine. Par la grande fenêtre de cette petite chambre, je voyais le soir tomber, la journée bleuir, sur un (...) -
Le cercle
12 juin 2006, par JC SekingerJe pensais à Pierre Teilhard de Chardin qui écrivait (je ne sais plus où) « le cercle de nos petits amours fermés ». Plus prosaïquement je pensais aussi à cet extrait de La Cantatrice Chauve d’Eugène Ionesco : « Prenez un cercle, caressez-le, il deviendra vicieux ».
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Où es-tu ?
5 mai 2006, par JC Sekinger -
Géométrie
30 mars 2006, par JC Sekinger« Nous remarquons que si un problème admet une solution, il en admet une infinité. »
Cours de géométrie de P. Chenevier (1929).
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