Je ne sais pas pourquoi j’aime ce monde dans lequel nous sommes venu mourir
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poésie
Articles
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Haïku
1er mai 2009, par JC Sekinger -
« Music for a while »
3 mai 2009, par JC SekingerMusic for a whileMusic for a while Shall all your cares beguile : Wond’ring how your pains were eas’d And disdaining to be pleas’d Till Alecto free the dead From their eternal bands, Till the snakes drop from her head, And the whip from out her hands.
by John Dryden (1631-1700)
by Nathaniel Lee (1653 ?-1692)
Henry Purcell (1658/9-1695) , "Music for a while", Z. 583 no. 2, from Orpheus Britannicus, Vol. II (1692 (...) -
Le rêveur
18 mai 2009, par JC SekingerDans une nuit si longue qu’elle en est devenue aussi vive que le jour, le rêveur est parti : même en ouvrant les yeux, il n’en reviendra pas. La mort, la mort, la mort, il la connait un peu pour l’avoir attendu et vu son corps sans vie vu par son corps sans yeux ou assis face à lui.
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Dans mon jardin
28 mai 2009, par JC SekingerDans mon jardin J’ai invité Le monde entier Et il est là Ensoleillé Entre mes bras
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Simple regard
3 juin 2009, par JC SekingerRegarde ! Il n’y a plus que l’Air, L’arrangement coloré : Ombres bleues (les feuilles du laurier) Et soleil adoré !
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« Machine à transporter au loin la force des rivières »
23 juin 2009, par JC Sekinger -
Hasard et puits
29 juillet 2009, par JC Sekingerj’appelle hasard ce double-regard :
regard sans fond, sans bord ni raison
(ni chemin, ni maison)
je l’appelle puits aussi et voyez où je suis :
sous l’eau et en même temps, en haut
(ni tombe, ni berceau) -
« La Danseuse particulière »
6 août 2009, par JC SekingerConte illustré au piano par ma fille de quatre ans, précédé de « L’interdit de la peur » (ou « Le kangourou des neiges »), suivi du « Canard glacé » et d’une histoire sans titre de torchon bleu qui ne parle pas et à laquelle je ne comprends pas grand’ chose.
Beau et passionnant tout ça ! -
Dans un simple courrier
28 août 2009, par JC Sekinger« Dans un simple courrier Il y avait du vent et il m’a traversé (je l’ai reçu vraiment) »
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« Le corps coupe »
19 septembre 2009, par JC Sekinger« Le corps coupe, et voici la face vers le tout, et voilà le dos vers le rien. Comme si l’un et l’autre ne se trouvaient pas dans le même air. Le même. Plongé dans le même, je perds la tête.
Bernard Noël